Collection Anne Ma Muse. J’Aime M’Exhiber (1/1)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


COLLECTION ANNE MA MUSE. J’aime m’exhiber (1/1)

Vous commencez à me connaître, je suis la muse de Chris71.
À ce titre il a créé pour moi ma propre collection « Anne ma muse ».

Vous savez que je m’appelle Anne, j’ai 58 ans secrétaire dans une entreprise de transport.
Parmi mes fantasmes, j’en avais un que j’ai commencé à réaliser ayant 22 ans.

J’étais mariée avec Paul depuis six mois quand pour notre lune de miel, nous avions décidé, vu nos faibles moyens de passer une semaine à Paris.

Pas dans un palace, mais dans un hôtel de Pigalle.

Je vois déjà les vicieux.
Ne croyez pas que j’ai monté des clients, non, bien que dans ces années-là, des chandelles travaillaient encore dans ces rues et se faisaient des clients dans des hôtels borgnes.

On les appelait chandelles car elles attendaient le client debout, sans bouger, au pied de ces hôtels.

Non, nous rentrions tranquillement d’un restaurant et d’un spectacle d’effeuilleuse où j’étais la seule femme dans la salle.

Et à quelques mètres de l’entrée de notre hôtel, j’ai vu au premier étage, la fenêtre voisine de notre salle de bains.
Malgré une vitre opaque, un homme se passait une serviette sur le corps.

Je savais qui il était sans le connaître, je l’avais vu entrer dans sa chambre au moment où nous sortions de la nôtre.

Il était grand, plus grand que Paul et pour la première fois depuis notre mariage, un autre homme aurait pu me faire renier mon serment tout juste donné car il était séduisant.

Ce qui avait attiré mon intention, c’était cette simple ombre, surtout au moment où il s’est essuyé méthodiquement la verge.

Suivant les mouvements de son corps, même au repos, chaque fois que la lumière de la lampe me le permettait, j’ai eu le temps de voir qu’il en avait une bien plus grande que Paul.


C'était nouveau pour moi et impressionnant.

Je ne me suis pas arrêtée, évitant de passer pour une voyeuse, alors que des hommes l'étaient, le faisant sans vergogne étant assis sur deux bancs en face de ces fenêtres.

Surtout que mon mari n’avait pas vu ce qu’une simple lampe et une fenêtre opaque avait d’érotique.

Je sentais que pour la première fois, ma chatte, d’un coup, était devenue humide.

Quand nous avons été dans le petit ascenseur de l’hôtel, je me suis collée à Paul.

Il a dû penser que c'étaient ses beaux yeux qui faisaient couler ma cyprine le long de mes jambes quand il m’a passé une main.
S'il avait su !

Entrés dans notre chambre, j’avais envie de courir dans notre salle de bains pour voir si une lampe me permettrait de jouer aussi en ombre et lumière et de donner un spectacle érotique.

Les hommes sur les bancs devaient se trouver orphelins de la vision.
À quelques mètres de moi, dans la pièce voisine, l’homme ne se sachant pas observé avait dû déjà quitter la pièce en éteignant la lumière.

Les toilettes étant aussi dans cette pièce d’eau, j’y suis allée alors que Paul voulait me coucher directement sur notre lit, ayant sorti son sexe bandé.

Je me suis éclipsée et j’ai vu qu’en allumant seulement les lampes autour de la glace du lavabo, mon ombre était projetée sur la fenêtre.
Je me suis donc mise devant les toilettes et j’ai relevé ma jupe avant de descendre ma culotte.

Je voulais que ceux, qui avaient certainement commencé à me mater en ombre chinoise, en aient pour leur argent, même si j’avais envie de m’exhiber gratuitement.
Je me voyais mal redescendre nue jusqu’à eux pour leur tendre un chapeau comme le font les artistes de rues.

Je me suis placée de façon que ma touffe soit bien visible.

Dans ces années-là, nous ne nous épilions pas et l’on peut dire que j’en avait une belle.

Une toison châtain très fournie en forme de triangle, qui couvrait mes lèvres.
J'étais aussi plus fine qu'aujourd'hui, ma taille étant la même, 1m64, mais mon poids moindre, je ne pesais que 52 kg.
Même mes seins étaient moins volumineux, je me souviens bien de mes soutien-gorge de 85C.
Et j'étais fière de leur tenue.

Je me suis assise sur la lunette, je me suis satisfaite et prenant une feuille de papier, faisant toujours attention à l’ombre projetée, je me suis essuyée.

C’est à ce moment que Paul est venu derrière moi.
Il m’a plaqué sur le lavabo où j’ai reposé mes mains.

Là encore j'ai porté un coup d’œil sur la fenêtre.
Dehors ils ne pouvaient pas ignorer que l’homme qui était avec moi allait me baiser.
Savoir que d'autres verraient sa verge en simple ombre me faisait de nouveau mouiller.
Il m’a pénétré. Il me labourait à grands coups de verge sortant même par deux fois avant de me là replacer au fond de ma grotte.

J’ai regretté de ne pas avoir entrouverte la fenêtre, ils auraient eu un son et lumière dès que les prémices de mon plaisir ont commencé à me faire émettre des sons venus du fond de mon ventre en feu.
À cette époque déjà, j'étais très bruyante quand je jouissais.

Ce soir là, j’ai pris le pied de toute ma vie, je venais de découvrir que j’étais exhibitionniste et que de me savoir regardée, observée, doublait mon plaisir.

Au matin, nous devions prendre notre petit déjeuner avant neuf heures trente.
Comme nous étions là pour profiter de Paris, nous avons rejoint la salle où une jeune femme servait les petits déjeuners.

Au fond de cette salle, était assis le beau gosse qui m'avait permis de découvrir que, contrairement à ce que je pensais, j’avais des fantasmes et que grâce à lui, hier au soir, j’en avais réalisé un.

Le regardant fixement, j’ai osé écarter mes cuisses montrant ma petite culotte rose, mise ce matin.

Pour cette belle journée ensoleillée, je portais un chemisier légère, d'un tissu fleuri comme c'était la mode, et une jupe courte évasée.

J’ai regretté d’en avoir mise une sinon il aurait pu voir ma toison, bien que la culotte dût lui faire voir par transparence la brune que je suis.
Paul à mon côté bougea sa jambe touchant la mienne. Que voulait-il faire ? J’ai pris peur et j’ai refermé le compas des miennes précipitamment.
L’homme devinant ce spectacle terminé, se leva et sortit sans un regard vers moi alors qu'il est passé à quelques centimètres de nous.
Les sensations qui étaient en moi, de plaisir et de frustration, qu’il soit passé sans un regard pour moi, me marquent encore quand aujourd'hui j'y pense ou que je le raconte.

Nous avons quitté l’hôtel. Dehors, sur les deux bancs, des mamans avec leurs s en bas âge avaient remplacé mes voyeurs.

Dans ces années-là, Paris n’était pas le Paris de maintenant, il était facile de trouver des places pour se garer pour la nuit.
Nous avions ma voiture, Paul étant bohème et plutôt écolo avant l’heure, ne se déplaçant qu’à vélo.
Pas de voiture, et pas de permis, il aimait que je le conduise.

Je voulais aller à la Tour Eiffel, il y avait de la circulation à cette heure-là.
Un bus est venu se placer à notre hauteur, j’ai regardé ma jupe, les gens près des fenêtres devaient avoir une vue sur mes jambes et aussi mes mollets et mes cuisses, tellement elle était remontée.

C’est à ce moment, avant que nous nous mettions à rouler de nouveau, que Paul m’a fait comprendre que ses coups de sexe dans la salle de bains n’étaient pas anodins.
Il a passé sa main sur mes cuisses, m’a regardé et a soulevé ma jupe allant même jusqu’à écarter ma culotte.
Ma touffe ne pouvait pas échapper à ceux qui étaient aux premières loges, je n’osais pas lever la tête, ils auraient vu que j’étais rouge de honte.
Le bus a démarré avant nous.
Et au moment où moi aussi je devais avancer, j’ai calé sous la puissance de la jouissance qui se produisait, grâce ou à cause des doigts agiles de mon petit mari.

Par chance au feu suivant, le spectacle a recommencé avec deux doigts de Paul dégageant mon clitoris, je coulais, coulais, coulais, étant sûr d’avoir mouillée mon siège.

J’ai osé relever ma tête, un homme me regardait, il avait les yeux qui lui sortaient de la tête, ce qui décuplait une nouvelle fois le plaisir de me montrer, de me savoir regardée.
C’est à ce moment qu’il m’a avoué avoir vu lui aussi hier soir l’homme en ombre chinoise se séchant la bite.
C’est à ce moment qu’il avait compris que j'avais des envies de m’exhiber.
Et il me demanda que dans la journée, chaque fois que cela était possible, je devais provoquer qui un homme, qui une femme.

Oui, je dis bien une femme aussi, et ça a été le cas à la terrasse d’un café Place du Trocadéro, à deux pas du Trocadéro.

Nous étions remontés de la Tour Effel à pied, traversant la Seine, le nombre de marches m’ayant épuisée.

C’est au moment où j’ai croisé mes jambes que j’ai vu le regard de cette femme élégante à deux pas de nous.
Combien de fois les ai-je croisées et décroisées, avant de la voir se lever et se rendre vers les toilettes.

Paul aussi avait vu qu’elle s’intéressait à moi, il m’en a informé, me demandant de la suivre.
L’escalier en colimaçon descendu, je me trouvais devant deux portes dont l’une avait le sigle d’une femme.

J’ai ouvert la porte, la vision de cette femme si grande dame, assise la jupe relevée, urinant sans avoir fermé la porte intérieur, m’a fait savoir et voir que d’autres femmes étaient comme moi et savaient, aimaient s’exhiber.

Elle était blonde et avait aussi une toison bien épaisse.
Ses poils devaient être plus longs encore que les miens, et bien plus soyeux.

Elle m’a tendu du papier de toilette qu’elle avait récupéré.
C’est moi qui lui ai passé ce papier entre les cuisses, doucement, nettoyant la dernière goutte avant qu’elle ne se lève.

Cette scène, qui se déroulait sans un mot, était encore plus érotique quand elle s’est levée, rabaissant sa jupe sur sa chatte, sans aucune couverture, sans aucune protection, sans aucune culotte.

Contrairement à moi, cette grande salope se promenait la chatte à l’air en plein jour, dans Paris.
À mon tour, elle m’a fait m’asseoir, relevant ma jupe et descendant mon bout de tissu.
Une fois assise, j’ai moi aussi urinée, j’avais ouvert mes jambes au maxi dans cet endroit exigu.
Comme elle s’était baissée, elle voyait et entendais mon jet puissant filer vers la cuvette.

Elle a attendu la dernière goutte qu’elle a essuyée, sans utiliser le papier hygiénique, c'est ma culotte qui a servi.

Son travail fait, elle a récupéré son petit sac à mains et l’ayant ouvert elle l’a mise à l’intérieure.

Les toilettes en plus de cette cuvette avaient un lavabo.
Elle a pris son rouge à lèvres qu’elle a étalé consciencieusement, avant de relisser sa jupe et de me quitter alors que j’étais restée dans la même position, assise, impudique.

J’ai entendu un bruit d’eau tombant dans la cuvette, c’était ma cyprine qui dégoulinait tellement cette scène improbable était excitante.

Je suis remontée récupérer Paul, il a voulu que je lui raconte ce qui s’était passée, je voyais qu’il bandait.

Il va sans dire que je lui ai rapporté les plus petits détails, me les remémorant en même temps pour les graver bien au fond de mon cerveau, et pouvoir vous les rapporter aujourd’hui.

C’est après être rentrée, passant devant plus d’hommes qu’hier semblant attendre l’ouverture, comme au théâtre du rideau, que la lampe projetant vers eux allait me permettre de me monter une dernière fois, avant notre départ le lendemain matin.

Paul, comme la veille, m’a baisée, j’étais appuyée sur la plaquette sous la fenêtre opaque.
Nul doute que les voyeurs étaient satisfaits du spectacle que nous leur proposions.

Au petit déjeuner, l’homme était remplacé par un couple de vieilles personnes. Dommage. Je n’ai pas eu le plaisir d’écarter mes cuisses une nouvelle fois.

Nous avons repris ma voiture et nous sommes rentrés chez nous.

Voilà ce que je peux rapporter de ma première expérience d’exhibitionniste à Chris71.

J’espère qu’il aura su retransmettre l’intensité de ces moments rares que j'ai vécus. J’ai hâte de lire son récit.

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